Citations correspondant à « étonné » : 284 citations trouvées dans le Littré (40 affichées)
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Je me suis étonné de son peu d'allégresse RACINE Phèd. IV, 1 allégresse
Je ne m'étonne pas qu'il y ait des brelans publics LA BRUYÈRE 6 brelan
Je ne m'étonne point si parfois on en cause MOLIÈRE Prol. d'Amph. causer [2]
Le papelard contrefait l'étonné LA FONTAINE Herm. contrefaire
Ton aspect m'encourage et ne m'étonne pas VOLTAIRE Sémir. III, 6 encourager
Ne me regarde plus d'un visage étonné CORNEILLE Cid, III, 1 étonné, ée
Je me suis étonné de son peu d'allégresse RACINE Phèd. IV, 1 étonner
L'on s'étonne ici des longueurs de Rome BOSSUET Quiét. 296 longueur
Ne me regarde plus d'un visage étonné CORNEILLE Cid, III, 1 visage
Ma vengeance s'étonne et craint d'être achevée QUINAULT Agripp. V, 2 achever
Quoi ! déjà votre foi s'affaiblit et s'étonne ! RACINE Ath. I, 2 affaiblir
Je ne vous puis celer que son ordre m'étonne CORNEILLE Cinna, I, 4 celer
Je m'étonne comme le ciel les a pu souffrir si longtemps MOLIÈRE Don Juan, V, 1 comme
Je me suis souvent étonné d'une si étrange contexture BOSSUET Imp. 3 contexture
Votre impudence enfin m'étonne et me démonte HAUTEROCHE Appar. tromp. III, sc. dern. démonter
Trop de vérité nous étonne PASCAL dans COUSIN étonner
Ma faiblesse n'a point étonné mon ambition PASCAL ib. étonner
.... La nouvelle en ce cas M'étonne bien un peu, mais ne me change pas PIRON Métrom. v, 11 étonner
Quoi ! déjà votre foi s'affaiblit et s'étonne ! RACINE Athal. I, 2 étonner
Je m'étonne comment je la puis souffrir [une maladie] VOITURE Lett. 6 étonner
Il s'est étonné que je n'ai rien vu de tout cela GUEZ DE BALZAC Lett. à Chapelain, 8 janv. 1640 étonner
Il étonne, il éveille, il excite notre âme DELILLE Imagin. I, p. 16 exciter
D'enchaîner un captif de ses fers étonné RACINE Phèdre, II, 1 fer [1]
Et le seul nom de Rome étonne les plus fiers RACINE ib. IV, 6 fier, ière [3]
Mon coeur étonné flotte plus que jamais CORNEILLE Attila, III, 1 flotter
Mon génie étonné tremble devant le sien RACINE Brit. II, 2 génie
Je ne le cèle point, cette hauteur m'étonne CORNEILLE Oedipe, II, 1 hauteur
Rendant tout l'univers de son heur étonné MALHERBE II, 1 heur
Notre âme incorruptible étonne ses desseins VOLTAIRE M. de César, II, 3 incorruptible
Le valet étonné introduisit les deux voyageurs VOLTAIRE Zadig, 20 introduire
Du rouge qu'on vous voit, on s'étonne, on murmure BOILEAU Sat. X murmurer
Oyons : - Dorante : Sa courtoisie est extrême et m'étonne CORNEILLE Suite du Menteur, I, 2 ouïr
Ce reproche vraiment ne peut qu'il ne m'étonne CORNEILLE Suiv. II, 11 pouvoir [1]
Je ne m'étonne plus de quoi je gagne tant CORNEILLE Gal. du Palais, IV, 13 quoi
Mon génie étonné tremble devant le sien RACINE Brit. II, 2 trembler
Des veilles, des travaux un faible coeur s'étonne ROUSSEAU J.-B. Ode au comte de Luc. veille
Ce monarque étonné à ses frayeurs déjà s'était abandonné CORNEILLE Nic. v. 8 abandonner
Je ne m'étonne plus de cet ordre cruel Qui m'aurait interdit l'approche de l'autel RACINE Iphig. II, I approche
Votre rival après sera bien étonné MOLIÈRE l'Étour. II, 7 après
Et le sang qui bouillonne Forme un si gros torrent que lui-même il s'étonne CORNEILLE Attila, V, 6 bouillonner